Zolli, le zoo de Bâle

Protection de la nature

Le zoo participe à d’importants programmes de reproductions et de préservations des animaux.

EAZA Ape Campaign - protection des primates et préservation de leur habitat
Logo de l'EAZA
La campagne de protection des grands singes lancée par l'EAZA (Association européenne des zoos et aquariums) a attiré l'attention sur les grands singes. Le soutien des membres de l'EAZA et des acteurs de la campagne a permis d'augmenter les chances de survie des grands singes et de mettre en place des mesures de protection à long terme. La campagne vise à participer à la conservation des grands singes et à la préservation de leur habitat. La chasse des grands singes et leur commerce doivent cesser et une fondation de protection des grands singes à long terme doit être créée. Le Zoo de Bâle récolte des dons pour soutenir l'« APE Campaign » de l'EAZA.
Projet de protection des lions mené par la Big Life Foundation: Predator Compensation Fund
Ce programme vise à aider le peuple massaï, établi dans l'écosystème Amboseli-Tsavo depuis des siècles, en lui offrant une indemnisation lorsqu'il est prouvé que son bétail a été décimé par des lions ou d'autres carnivores. Par ailleurs, la BLF encourage les jeunes guerriers massaïs à participer aux Jeux olympiques massaïs, en alternative à la chasse au lion traditionnelle. Cette dernière est une façon pour les jeunes guerriers massaïs de prouver leur courage. Au lieu de chasser les lions, les jeunes hommes peuvent témoigner de leur endurance et de leur dextérité lors des Jeux olympiques massaïs. Le Zoo de Bâle a décidé de soutenir le programme «Predator Compensation Fund» (PCF - Fonds de compensation des prédateurs) de la «Big Life Foundation» (BLF) à hauteur de 25 000 francs pour l'année 2014.
Fondation Ombili
La fondation Ombili accompagne des familles de Bochimans tout au long du chemin semé d’embuches qui les mènera vers un avenir meilleur. Les Bochimans étaient des nomades chasseurs-cueilleurs de la savane sèche et de la brousse. Le recul des populations d’animaux sauvages et l’extension des zones protégées ont fait perdre aux Bochimans leurs terrains de chasse, de cueillette et d’itinérance habituels.